La procédure de destitution de Macron a été jugée recevable mardi par le bureau de l'Assemblée.

Tamedia fusionne les rédactions de «24 Heures», «La Tribune de Genève» et du «Matin Dimanche», supprimant 55 postes, dont 25 en Suisse romande. Le magazine «Femina» passera à une publication mensuelle.

Après l'avis de la Cour internationale de justice, Israël se retrouve sous pression. Le Secrétariat d'Etat à l'économie conseille les entreprises suisses afin qu'elles ne se rendent pas coupables de délits en soutenant la colonisation illégale de territoires.

Les meutes de loups d'Augstbord et des Toules seront éliminées après des attaques sur des animaux de rente. Le Valais a obtenu l'autorisation de l'OFEV suite à des discussions entre le conseiller d'Etat valaisan Frédéric Favre et le conseiller fédéral Albert Rösti.

Au Tessin, le déraillement d'un train entre Balerna et Mendrisio a perturbé le trafic ferroviaire. Aucun passager n'était à bord et personne n'a été blessé. Les CFF enquêtent sur les causes de l'incident.

Ursula von der Leyen doit présenter ce mardi l’organisation de sa future équipe à la Comission européenne. Elle a désigné le Français Stéphane Séjourné, proche d'Emmanuel Macron, pour redresser l'industrie de l'UE.

Le groupe de réflexion libéral Avenir Suisse propose de distribuer les bénéfices de la Banque nationale directement à la population. Cette mesure est censée renforcer l'indépendance de la BNS, mais pourrait entraîner de nouveaux débats et des inégalités.

Le Conseil des Etats suisse rejette le Pacte mondial de l'ONU sur les migrations par 26 voix contre 7. Malgré le soutien pour la coopération internationale, la majorité estime que la Suisse ne bénéficierait pas concrètement de ce pacte.

Face à une baisse des exportations et un franc suisse fort, l'industrie horlogère suisse demande des mesures de soutien. La Fédération de l'industrie horlogère suisse et la Convention patronale alertent sur les conséquences économiques et les licenciements.

Accusé d'avoir drogué et violé sa femme, Dominique Pelicot, 71 ans, est de retour devant la cour criminelle de Vaucluse. Son état de santé a retardé le procès, mais il est désormais jugé apte à comparaître.